Découverte.... [PV: Alex...]

- Si quoi ?

Je penchais la tête sur le côté un peu surpris par sa réaction ,pourquoi il semblait tout hésitant. Après sa question , je haussais un sourcil avant de rire doucement. Avant de me retirer de contre lui et de m'assoir à côté tout en ramenant mes genoux contre ma poitrine pour poser ma tête dessus. c'était donc sa qui le gênait. Je tournais la tête vers lui et lui répondis très calmement sur on ton qui rappelait un peu celui que j'avais avec lui avant de me mettre à pleurer quelques minutes plutôt.

- Non jamais... pourquoi cela vous dérange sensei ?

Je me recoiffais un peu , remettant une mèche ici une autre là. Il venait de me stresser tout un coup avec une simple question même si au fond je pense que c'était le but de me faire douter. Je me mis à fixer mes doigts tout en les triturant de tout les côté si bien que je pus voir la peau de mes phalanges rougir. Je ne savais plus o il voulais en venir , enfin quoi c'est lui qui à commencé nan ?! Et maintenant que j'étais bien dans le moment il rompt tout , bon je sais c'est un professeur se genre de relation ne doit pas avoir lieu ente un élève et son professeur.

Invité

Alexander s'est alors éloigné. J'étais partagé entre deux sentiments contradictoire, d'un còté la déception de cette rupture affective, puis de l'autre la joie que rien ne se passe entre lui et moi, par simple conscience proffessionel quoi!! Cependant le visage de déception s'est violement traduit sur son visage, et il s'est assis à côté de moi. Il a penché sa tète sur ses genoux ramené contre son corps. Il me toisais de se regard qu'il employais en début de cours, cette mélancolie revenait. Tout mes efforts pour revenir a nouveau à zero avec lui?

- Non jamais... pourquoi cela vous dérange sensei ?

Il m'avais dit cela de sa voix neutre encore enfantine.Mais il stressais, car il s'acharnais sur ses doigts attendant une réponse négative de ma part surement. Il voulait peut être que je le rassure. Se qui m'a le plus surpris dans sa réponse s'est sa question. le savoir vierge avec un homme étais sensé me gêner? mais s'est lui qui devrais être gêner, il devrais être en train de me repousser, de me dire qu'il n'en voulait pas de mes conneries etc. Pourtant là ce n'étais pas le cas. Il avait peur de ne pas être à la hauteur, ou que je soit gêné. Il ne m'avais visiblement pas compris. Je me suis donc assis en tailleur face à lui, posant une`main sur mon genoux droit. J'ai écrasé mes doigts sur mes yeux afin de les frotter, pliant mes sourcil, affichant mon air grave, cherchant désepérément quoi lui répondre. J'ai donc dit sans changer de position, de ma voix grave.

-Attend...Tu est .."puceau" de ce côté là...tu n'est pas gay. Tu te fais bisouiller par ton prof (Mes joues rougissent violement) Carresser a des endroit improbable... et après cela....

J'ai pris une profonde inspiration et j'ai planté mon regard dans le sien, mes sourcils toujours froncé, mon visage toujours aussi grave...

-Tu te soucis de savoir si se "détails" ME gêne?J'ai explosé de rire. Tu ne crois pas que quelque chose ne tourne pas rond? Héhé? cependant...

Dis-je mon sourire toujours aussi resplendissant, allumant une cigarrette. La lumière du feu m'a permis de réaliser à quel point il se faisait tard. J'ai profité également de cette source d'énergie, pour fixer mon doux regard dans le siens, si pure...

-Sache que si tu veut je suis près à te donner toute la tendresse que tu voudras. Mais il faut que tu me le demande.

Avais-je dis de ma voix douce, et mélancolique.

Alors c'était pasqu'il avait peur que se soit moi qui soit gêné qu'il s'était arrêter ?! Je hochais la tête de gauche à droit avec un sourire à moitié amusé à moité dépité. J'avais tout compris de travers visiblement , je relevais les yeux vers lui. des yeux pétillants et brillant peut être dû à la seule lueur de la flamme du briquet. Je décidais cependant de faire comme une mine boudeuse en pinçant les lèvres et en fronçant les sourcils.

- C'est pas beau de se moqué sensei.

Je me mis debout et essaya de faire un pas en avant mais je trébuchais su mon sac que j'avais laisser traîné et me retrouva étalé de tout mon long sur mon professeur. Je restais quelques secondes , peut être même quelques minutes sans bougé de sur lui tout en profitant pour mémorisé chaque nuance de son parfum. Je me relevais un peu sur les coude et lui fis un sourire désoler.

- Désoler ... je ne vous ai pas fait mal ?

Son visage était vraiment près du mien et je ne pus résister à l'envie d'aller gouté de nouveau à ses lèvres depuis trop longtemps séparé des miennes. Je me retirais un peu et détournais le regard les joues devenus rouges feu. Ma main , elle restais sur sa joue la caressant avec douceur, allant même jusqu'à redessiner le contour de ces lèvres.

- ... mais j'aime me faire bisouillé par mon professeur.

Invité

Il fit une mine de petit garçon vexé. Il s'est levé, mais n'ayant pas vu son sac, il trébucha sur ce dernier pour se votrer de tout son long sur moi. Ma cigarrete, dont seule la fraise se voyait dans l'obscurité, voltigea, et me brûla la main, mais je n'y ai pas vraiment fait attention, la douleur m'éffleura a peine, car après s'être excusé, il déposa un baiser langoureux, plus maîtriser, mais toujours aussi avide, sur mes lèvres. Il étais sûr de se qu'il voulait. L'obscurité s'intensifiant, nous n'arrivions plus à distinguer nos visages, pourtant, lui, retraçais aisément le contour de mes lèvres de mon visage, tel un aveugle.

- ... mais j'aime me faire bisouillé par mon professeur.

Non de dieux....en plus il se permet une drague. Je me suis assis, le gardant toute fois collé à moi, pour retrouver ses lèvres. Je l'ai ainsité à se lever. Je dévorais ses lèvres, ses yeux, son cou. Pris d'une passion folle, par ce garçon qui enfin de compte, me désirais tout autant que moi, je l'ai porter nos lèvres toujours jointes. Ses mains autours de mon cou, mes bras sous ses jambes et son dos, j'avancer doucement vers la porte, et je longeais les couloirs, en silence. je lui chuchotais, de se taire, de faire le moins de bruit possible, et nous rions en silence, de la tendresse se lisant dans nos regards.
Nous avion descendus un étage, et avions arpenté les couloirs des dortoirs. J'ai pousser la porte d'une chambre vide, et j'ai fermer derrière moi, à cles. Je rigolais doucement, l'embrassant avec envie, sur ses joues, sont front ses lèvres. Je l'ai déposé sur le lit, m'allongeant sur lui...

-Alors...s'est plus commode non?

[BOn je fini ici tu reprend au dortoire? je te laisse reprendre =D]

[ Yes sensei !!! J'y cours , j'y colle , j'y glisse même ^^ Nuance Alex pour les bisouilles Alex se parlait à lui même à voix haute lol ]

https://boysloveuniversity.forumactif.org/universitaire-f67/nouvelle-lecon-de-vie-pv-ray-explicite-t140.htm#1551 voilà sujet crée je te laisse répondre ^^

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